Dans le cas d'algoneurodystrophie, Il y a une douleur, bien sûr, et celle-ci va plutôt impliquer un travail par le biais de l'hypnose ou de l'EMDR, plus adapté à des douleurs mécaniques.
Concernant les signes fonctionnels, ceux ci vont soit être accessibles par la métaphorisation comme la douleur, soit par un travail plus direct d’hypnose, tel qu’à minima obtenir des modifications des sensations thermiques dans le membre malade.
Toutes ces sensations, origine d’une gêne importante, vont s’accompagner à la longue, d’un vécu pessimiste correspondant à des cognitions négatives qu’il faudra faire changer par un travail de recadrage en hypnose éricksonienne ou par un travail d’EMDR.
Quelles que soient les techniques utilisées, il faudra arriver à une anticipation positive et concrète, d’autant plus importante ici que la longueur de l’impotence a souvent effacé du schéma mental toutes les représentations liées au membre malade.
Ce travail minutieux, concret, suivi d’un questionnement systématique, permettra au patient de se représenter le changement, d’y croire et enfin de faire les efforts nécessaires pour qu’il se produise.
Ceci encore pour montrer que le travail par le biais de l'hypnose ericksonienne est tout à fait complémentaire d'un travail ostéopathique.
Concernant les signes fonctionnels, ceux ci vont soit être accessibles par la métaphorisation comme la douleur, soit par un travail plus direct d’hypnose, tel qu’à minima obtenir des modifications des sensations thermiques dans le membre malade.
Toutes ces sensations, origine d’une gêne importante, vont s’accompagner à la longue, d’un vécu pessimiste correspondant à des cognitions négatives qu’il faudra faire changer par un travail de recadrage en hypnose éricksonienne ou par un travail d’EMDR.
Quelles que soient les techniques utilisées, il faudra arriver à une anticipation positive et concrète, d’autant plus importante ici que la longueur de l’impotence a souvent effacé du schéma mental toutes les représentations liées au membre malade.
Ce travail minutieux, concret, suivi d’un questionnement systématique, permettra au patient de se représenter le changement, d’y croire et enfin de faire les efforts nécessaires pour qu’il se produise.
Ceci encore pour montrer que le travail par le biais de l'hypnose ericksonienne est tout à fait complémentaire d'un travail ostéopathique.